Retour au bercail... Et Tartelettes aux Pralines !
De retour !
Un week-end génial... Invités par la Fédération Française de Ski, à la 60e Descente du Kandahar, une épreuve de la Coupe du Monde de Ski Alpin, à Chamonix...
Le programme
Vendredi 19h30 : accueil à l'hôtel par Hervé, Responsable de la Communication à la FFS, un client et ami de mon mari, qui nous a présentés au Président de la FFS et à son équipe technique. Souper servi à l'hôtel puis petit dodo.
Samedi
- 8h30 : Réveil et découverte de la vue depuis la terrase de notre chambre : le Mont Blanc et l'Aiguille du Midi. Petit déjeuner consistant avant le départ pour la station des Houches.
- 12h00 : Piste Verte des Houches... Descente des coureurs, altitude de départ : 1871 m, altitude arrivée : 1001 m, longueur : 3343 m. La pointe de vitesse est de 140 km/h... ce qui donne une moyenne de 2 minutes pour la descente... Impressionnant ! Victoire de Marco Sullivan.
- 14h00 : repas servis en salle spéciale "VIP" (et oui, nous avions notre accréditation pour tout accès...!). C'est vous dire quel sacré privilège on a eu ! Au menu : Salade de saumon fumé maison, noix et céleri - Gigolette de poulet aux pommes caramélisées au miel - Variation autour de la framboise
- 17h00 : retour à Chamonix pour la remise des dossards du super combiné du dimanche, suivie d'un feu d'artifice. Passage dans notre chambre pour prendre un bain très très chaud, car nous, petits provinciaux, étions partis avec nos petites chaussettes et jolis vêtements coquets...! Ben oui je ne savais pas que nous allions rester plus de 2 heures debout à applaudir (ça réchauffe ça aussi) tous ces coureurs et que le soleil n'apparaitrait qu'une petite heure, même pas le temps de sortir mes lunettes de soleil (elles, je ne les avais pas oubliées)... Et heureusement, dans notre chambre, il y avait (entre autres cadeaux) des chaussttes de ski...(à votre avis ils avaient deviné ?)... que je me suis empressée d'enfiler !
- 20h00 : Soirée de Gala des 60 Ans à laquelle nous avons préféré une petite soirée en amoureux à l'hôtel.
Dimanche
- 7h00 : Réveil puis petit déjeuner avant une petite promenade en ville.
- 11h00 : Descente du Super Combiné avec la victoire de Bode Miller.
- 12h30 : repas servi au même endroit que la veille et avec les mêmes personnes assisses à notre table... Avec à ma gauche, Luc Alphand et Kévin Page et à côté de mon mari, René Allard... Un repas très agréable avec des personnes fort sympathiques. Au menu : Foie gras confit au naturel, au chutney de figues - Agneau de sept heures, polenta au parmesan, jus de romarin - Dôme du Mont Blanc
- 14h00 : Slalom avec à nouveau la victoire de Bode Miller.
- 15h00: Podium, remise officielle des prix du Super Combiné dans l'aire d'arrivée.
- 16h00 : Retour à l'hôtel pour notre départ... Bien sûr, tout le monde a eu envie de partir à la même heure !... Donc bouchon... Ensuite 2 bonnes heures de route et nous voilà arrivés à bon port... Mais, il faut aller chercher les enfants et le chien chez Mamie... Superbes retrouvailles avec nos petits enfants chéris qui nous avaient beaucoup manqué, repas dans le brouhaha et l'excitation générale... Des "whoua la chance", nous en avons entendu et entendu... Tom heureux d'avoir un autographe perso de luc Alphand ainsi qu"une très belle photo (avec nous hihi !) et de bien d'autres skieurs, ancienne et nouvelle générations confondues !
- 21h00 : Retour pour de bon à la maison, enfin on souffle...! Et bien non !!!!! C'est sans compter sur la tête de linotte de notre fils qui a oublié son cartable chez mamie...! GGGGGRRRRRR ! Re-voiture et dans le brouillard, c'est pas comme si on avait pas moins de 600 km, en trois petits jours, dans les pattes !
- 22h00 : Enfin mon lit : je vais pouvoir m'écrouler jusqu'à demain matin... Et bien non !!!!! Voilà Léo qui tousse et tousse, qui a soif et qui a soif.... Et ce, jusqu'au petit matin... !
Tu vois Dorian, je ne sais pas si je vais y prendre goût à ces week-ends, tout aussi agréable fut-il, je suis à plat... Je n'ai plus l'habitude de ce bon grand air !
Du coup, ce lundi j'étais dans le coltar total, je n'ai rien pu faire, même pas teléphoner à ma famille pour leur donner de mes nouvelles... Le pire, lorsque les filles sont rentrées du lycé et collège... "Quoi ? On ne va pas faire les soldes, mais c'est bientôt fini et je n'ai même pas eu de nouveau blouson... Je n'ai rien à me mettre..!"... Tout compte fait, je retournerais bien au calme à la montagne. C'est sûr, ce soir je prends un somnifère et je dors de 21 heures à 8 heures d'une traite !
Et me voilà de bonne humeur ce matin , malgré le nez morveux de mon petit Léo et ses innombrables jouets qui jonchent le sol un peu partout, la deuxième punition de Tom en une semaine, la coupure d'eau pour la journée (8h00/17h00 : en étant debout à 8 heures, c'est un peu juste pour tout prévoir mais bon). Même le brouillard, qui d'habitude me sape le moral, n'enlève rien à ma bonne humeur... Pourvu que ça dure !
Y a t'il toujour autant d'amateur pour venir habiter vers chez moi ?... Hein Bige ?.... Tu échangerais ton soleil et ton bon froid sec contre ce magnifique brouillard, et là, il est 15 heures si tu avais vu ce matin... tu n'aurais rien vu d'ailleurs, car il était bien trop épais...Tu sais, je suis passée par Chambery, enfin Aix-les-Bains, pour aller à Chamonix car il fallait que je passe voir ma famille à Belley. Mais ça rallonge drôlement... Je n'aurais même pas eu le temps de te faire un bisou...
Un grand merci à Hervé qui est à l'origine de ce superbe week-end (de rêve diraient mes filles!)... Atchoum !!!
Bon si on passait à la recette ?
Une petite sucrerie, dégustée la première fois à Tournus... Puis tombée sous le charme de cette délicieuse tarte, je me suis décidée à la refaire...
Ingrédients
- 1 rouleau de pâte sablé
- 100 g de pralines concassées
- 15 cl de crème fraîche liquide
- 30 g de beurre
- Sucre glace
Etendre légèrement la pâte au rouleau puis découper à l'emporte pièce de taille souhaitée, les fonds de tartes. Les déposer sur l'envers des empreintes tartelettes (spéciales) sinon les faire cuire à blanc avec des fruits secs à l'intérieur. Puis faire cuire 12 minutes à 200°C. Laiser refroidir.
Mettre les pralines dans une cassserole avec le beurre et la crème, porter à ébullition et faire cuire à 110°C au thermomètre à sucre (sinon, à peu près 15 minutes à feu doux).
Verser une cuillère à soupe de crème aux pralines dans les fonds de tartelettes. Laisser refroidir puis saupoudrer de sucre glace et déguster !
Un petit conseil : c'est très sucré, donc ne pas faire de trop grosses tartelettes, en minis ce serait mieux, sinon, prendre un emporte pièce plus petit que la taille des moules, pour ne pas que les tartelettes aient un bord trop haut.
J'ai aussi fait ce gâteau trouvé chez Catherine, car il me restait un pot de ricotta à passer avant de partir. J'ai vu que Celyo avait craqué aussi et à sa façon.... Moi, j'ai seulement ajouté des pralines et ce fut très bon !